Les Chouquettes c’est quoi ? C’est l’actualité hebdomadaire de la fanfare mise en LOL et en images « Paint », vous y retrouverez les infos sur le off, les dates, les répétitions, les projets, etc. Bonne lecture !
Salut les gens !
Au sommaire de la Chouquette n° 141 :
– le code couleurs des fanfares qui n’en ont pas
– la vidéo de la semaine…
La semaine dernière nous avons vu comment reconnaître…(oh putain cette vieille phrase de prof de collège qui débute son cours en se rassurant sur là où il/elle pense s’être arrêté/e la dernière fois) 
Donc la semaine dernière, nous avons vu comment reconnaître les fanfares par leur code couleurs. Et bien cette semaine, nous allons vous apprendre à reconnaître les fanfares qui sont en noir et blanc !
Les
Zygos :
Ce sont des potes de Nantes, on les connaît bien, très bien même ! Beubeu (notre batteur) a même cassé la caisse claire de Jérôme (leur batteur) ! C’est pour dire à quel point nous sommes potes !
Pour les reconnaître c’est simple, ils ont en plus de leurs costumes, du maquillage et des colliers de perles qui font penser à des trucs qu’on met dans les sapins à Noël.
On lira sur leur site « Une fanfare et ses danseurs hip-hop, l’esprit d’un jazz festif venu des Carnavals et des parades « second line » Nouvelle Orléans. Une musique sans complexe, faite pour s’amuser, danser et swinguer. Une parade, un accueil, une animation, une déambulation, ils sont prêt à tout, rôdé à ce qu’il ne puisse arriver qu’une seule chose : l’imprévu. Ils ont fait de l’improvisation une devise, de l’adaptation et de l’à propos une religion ! »
La fanf
are Toto :
C’est une fanfare qu’on a croisé sur un festival à Carcassonne. Il sont sympas et jouent super bien « la cantina » mais ils n’aiment pas trop qu’on leur demande. Pour les reconnaître c’est simple, demandez-leur de vous jouer « la cantina », s’il le font mais que ça les fait un peu chier, c’est eux ! La rédaction de la Chouquette adore ce morceau.
On lira sur leur site « les frères Locomotive vont vous enchanter ! Cette fanfare est une illusion ! Une sorte de mirage cinématographique… Sept individus, sept frères, qui semblent tout droit sortis du fameux train qui creva l’écran en l’an 1886 … Sept frères, donc, aux allures de notables, se retrouvent ! Ce sont les frères Locomotive ! Leur musique ? Un joyeux cocktail fruité aux douces saveurs du siècle dernier… Des mélodies foraines, cinématographiques, des génériques de feuilletons, du vieux jazz, des trads, des vieux airs et des compositions… Entre théâtre et fanfaronnades burlesques, la famille a forgé son caractère unique. Une contre-façon bienveillante ou grinçante à la mode 1900 pour s’amuser à remonter les pendules de l’histoire, et jouer à vous faire croire que c’était mieux avant mais que demain ce sera pire ! Et même si aujourd’hui, c’est difficile ! Avec les frères Locomotive les boniments vont bon train : de la musique, des réclames et de nombreuses surprises sont au programme. Et surtout, sachez une chose mesdames et messieurs : « L’ennui ne nous connaît pas ! Il nous jalouse ! »
La f
anfare Jo Bithume :
Plus besoin de les reconnaître car la fanfare Jo Bithume a, hélas, fait son dernier concert il y a presqu’un an… Les membres de la fanfare continuent de faire de bien belles choses, hein, alors ne soyez pas tristes, vous risquez de les recroiser sans vous y attendre ! On ne lira rien sur leur site car il n’est plus, mais vous trouverez une page sur Wikipédia !!!
Les Gips
y Pigs :
À la rédaction de la Chouquette c’est une de nos fanfares préférées car c’est une belle fanfare et c’est avant tout une des fanfares qui nous lit chaque semaine ou presque. Alors oui on trouve du gris au milieu du noir et blanc mais bon… On n’a pas trouvé 15 fanfares en noir et blanc non plus…
Alors on les reconnaîtra au fait qu’ils ne sont pas vraiment en noir et blanc….
On lit sur leur site : « Depuis 1998, Les GIPSY PIGS, fanfare unique et officielle du PIGSWANA, contribuent au bien-être de l’humanité, voire de la galaxie. Le monde entier les a acclamé avec fougue lors de leurs shows incroyables et inoubliables et le public d’enfants, d’hommes, de femmes, de vieillards de tout sexe ne tarissent pas d’éloge à leur égard, admiratifs devant leur grande générosité et leur remarquable talent. Le génie de leurs compositions, toutes originales, leur enthousiasme frénétique, leur gentillesse distinguée devraient leur valoir prochainement, et à coup sûr, d’être le premier orchestre de rue à être inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. C’est en s’inspirant du plus profond de leurs traditions plus ou moins ancestrales qu’est né, comme une évidence, le show « FABULOSTINOFF ».
Nos recherches sur le ternet nous ont rappelé un vieux truc qui nous avait fait rire et pleurer à la fois… On vous laisse vous faire votre propre avis, c’est sur la chaîne de nos amis du « Tube du Weekend ». Clique sur la photo. 
Et bien on ne vous cache pas que de regarder tous ces sites, ces photos, ces vidéos nous a rempli le cœur d’une certaine mélancolie… Une envie de retrouver les copains fanfarons pour faire de la musique en buvant des coups … Ça plus le fait que la radio de la salle de rédaction est bloquée sur Nostalgie, ça nous a donné envie de faire un montage.
On sait que depuis une vingtaine d’années il y a un grand renouveau des fanfares (cf. l’article de la Scène ci-dessous). 
GrandMACHINChose :
ker :
Banda Brutti :
: Couleurs : Noir et vert. Les Skroks sont un collectif complet, qui rassemble des artistes issus de divers horizons musicaux, tous très actifs sur la scène angevine. Manque de chance, lorsque la fanfare des Skroks est créée, Mlle Orchestra, la fanfare Jo Bithume et À la gueule du Ch’val existent déjà et il n’y avait plus trop de choix en terme de couleurs et de blason… Il ne restait plus que le vert et le noir…
fanfare :La fanfare médiévalo-balkano-universitaire de Nantes est, quant à elle, vêtue de vert et de noir. Là, plusieurs hypothèses :
Marco notre gros caisseu qui est là depuis le tout début de la fanfare part pour de nouvelles aventures et a fait son dernier concert avec nous dimanche dernier. 
On joue vendredi, samedi et dimanche à Orléans ! La ville de (dans l’ordre) Paul Gauguin, Burning Heads et Yann Moix …
En danse : « La danse sur bambou du Bénin » 
Wir spielen
Keine Schublade bleibt verschlossen, kein Stil ist ausreichend heilig als dass er nicht herhalten könnte. Viel Blech wird zum Schwingen gebracht – von ungezählten Hüften ganz zu schweigen. Von Metal-Dub bis Kletzmer-Disco einen Walzer streifend in Richtung Balkansurf mäandernd – immer auf dem Mittelweg zwischen den Stilen, neue Wege werden beschritten und das Publikum im Sturm erobert 
Wir sagen Ihnen ! 
Et oui les amis on retourne en Allemagne pour jouer au festival At Tension les 4, 5 et 6 septembre ! L’avantage pour nous c’est qu’on connait la route car c’est sur le même site que le festival Fusion sur lequel nous jouions en juin dernier !
NDLR : Nous avons préféré gardé l’anonymat du monsieur pour ne pas être ennuyé par une éventuelle plainte du monsieur en question…
En revanche, le festival, lui, est super chouette ! 
Encore un grand merci à Marie et Aurore pour l’accueil, c’était vraiment très chouette ! Un grand merci à Guillaume Barré qui a réussi à nous sonoriser malgré du matériel un poil capricieux et un temps de balance un poil short :). 
Un grand merci à Karine et à toute l’équipe de l’office du tourisme de Quiberon !! Voici d’autres photos prises par notre pote Flo !
Et merci Flo ! 
Internet nous dit : « Cette manufacture d’armes est créée par ordonnance royale du 14 juillet 1819 pour produire des armes blanches. Les travaux de construction débutent en 1820 sous la direction de M. Ledard et M. Guillebon par le bâtiment d’administration, cinq ateliers sur le bord de la Vienne et des logements d’ouvriers dans la partie nord (le bâtiment 137 porte la date 1821). A partir des années 1850 y sont fabriquées des armes à feu, puis du matériel d’artillerie et des missiles. L’introduction de nouveaux procédés mécaniques de fabrication et l’augmentation des effectifs entre 1830 et 1880 entraînent la transformation et la construction de nombreux ateliers. Entre 1886 et 1891, pour la fabrication du fusil Lebel, de nombreux bâtiments sont démolis et remplacés par de nouvelles constructions (3 des cheminées datent de cette période, et les bâtiments 114 et 206 portent la date 1887). Dans les années 1950, on reconstruit les bâtiments endommagés durant la Seconde Guerre mondiale et certains ateliers vétustes, tandis que l’on en modernise d’autres. Après la fermeture définitive de l’établissement le 1er novembre 1968, une partie des bâtiments est transformée en musée, en patinoire et en centre d’archives de l’armement. En 1844, il y a la mise en place d’une turbine Fourneyron, puis vers 1850, le remplacement de deux autres roues par des turbines. De 1914 à 1921, on y construit une centrale thermique et une centrale hydroélectrique. L’usine compte 40 ouvriers à ses débuts et 7000 durant la Seconde Guerre mondiale, elle est alors l’une des plus importantes usines d’armement d’Europe. » Bon le passé du lieu n’est pas rigolo mais nous sommes contents d’aider à changer le karma du bidule ! Et puis faut avouer que le site est bien indus-style ! 
