Chouquette du 20 août : On perd pas le rythme !

Les Chouquettes c’est quoi ? C’est l’actualité hebdomadaire de la fanfare mise en LOL et en images « Paint », vous y retrouverez les infos sur le off, les dates, les répétitions, les projets, etc. Bonne lecture !

Salut les gens !

Au sommaire de la Chouquette n° 132 :
– on joue mercredi à Chatellerault (86)
– on jouait samedi à Quiberon (56)
– suite de nos conseils lecture pour cet été
chatelle

 

Comme on peut lire sur le site de l’agglo : c'est nous

Et bim ! Ce sera pour nous notre deuxième concert, sur scène, amplifié avec notre copain Guillaume Barré à la console ! Alors si vous voulez venir danser comme des oufs, viendez nous rejoindre dimanche à 18h à Chatellerault, ce sera toujours mieux que de craquer 40 boules par têtes au Futuroscope…

manuInternet nous dit : « Cette manufacture d’armes est créée par ordonnance royale du 14 juillet 1819 pour produire des armes blanches. Les travaux de construction débutent en 1820 sous la direction de M. Ledard et M. Guillebon par le bâtiment d’administration, cinq ateliers sur le bord de la Vienne et des logements d’ouvriers dans la partie nord (le bâtiment 137 porte la date 1821). A partir des années 1850 y sont fabriquées des armes à feu, puis du matériel d’artillerie et des missiles. L’introduction de nouveaux procédés mécaniques de fabrication et l’augmentation des effectifs entre 1830 et 1880 entraînent la transformation et la construction de nombreux ateliers. Entre 1886 et 1891, pour la fabrication du fusil Lebel, de nombreux bâtiments sont démolis et remplacés par de nouvelles constructions (3 des cheminées datent de cette période, et les bâtiments 114 et 206 portent la date 1887). Dans les années 1950, on reconstruit les bâtiments endommagés durant la Seconde Guerre mondiale et certains ateliers vétustes, tandis que l’on en modernise d’autres. Après la fermeture définitive de l’établissement le 1er novembre 1968, une partie des bâtiments est transformée en musée, en patinoire et en centre d’archives de l’armement. En 1844, il y a la mise en place d’une turbine Fourneyron, puis vers 1850, le remplacement de deux autres roues par des turbines. De 1914 à 1921, on y construit une centrale thermique et une centrale hydroélectrique. L’usine compte 40 ouvriers à ses débuts et 7000 durant la Seconde Guerre mondiale, elle est alors l’une des plus importantes usines d’armement d’Europe. » Bon le passé du lieu n’est pas rigolo mais nous sommes contents d’aider à changer le karma du bidule ! Et puis faut avouer que le site est bien indus-style ! la-Manu    

quiberonUn grand merci à Karine et à toute l’équipe de l’office du tourisme de Quiberon !!   Spéciale dédicace aux Angevins, Angevines, Nantais, Nantaise, copains, copines, et la famille qui ont fait le déplacement hier ! quiberon3

Et merci à Flo pour les photos, la suite la semaine prochaine !

 

nos conseil lecture

 

métamorphose iranienne« Une métamorphose Iranienne » – Mana Neyestani

 

Le cauchemar de M. Neyestani commence en 2006, le jour où il dessine une conversation entre un enfant et un cafard dans le supplément pour enfants d’un hebdomadaire iranien. Le problème est que le cafard dessiné par Mana utilise un mot azéri. Les azéris, un peuple d’origine turc vivant au nord de l’Iran, sont depuis longtemps opprimés par le régime central. Pour certains, le dessin de Mana est la goutte d’eau qui fait déborder le vase et un excellent prétexte pour déclencher une émeute. Le régime de Téhéran a besoin d’un bouc émissaire, ce sera Mana. Lui et l’éditeur du magazine sont emmenés dans la Prison 209… Au bout de deux mois de détention, Mana obtient enfin un droit de sortie temporaire. Il décide alors de s’enfuir avec sa femme. Après un long périple qui les fera passer par les Émirats Arabes Unis, La Turquie et la Chine, ils parviendront à atteindre la Malaisie pour s’y installer. Bouleversant, Une Métamorphose Iranienne est une plongée en apnée dans le système totalitaire kafkaïen mis en place par le régime iranien.
Notre avis : Un super bouquin, aussi beau que poignant !
20 € – Coédité par Çà et Là et Arte Editions

 

 

 

 

 

 

 

 

A fond de cale

« À fond de cale » – Dominique Delahaye

Thomas sort de tôle. L’occasion pour lui de retrouver la vie du dehors et de se confronter à son passé. Des parents mariniers méprisés par la famille de sa mère : les Aubourg. Thomas se souvient d’un mariage dans cette famille. Le père qui flirte avec la chanteuse de la fête, un début de bagarre, le départ précipité, les coups portés à la mère. Adolescent, il commence les premières bêtises avec des copains. Et toujours, au retour le visage  blessé de sa mère. De retour à la vie en liberté, il découvre que la péniche de ses parents a été rachetée par des Aubourg. La rage monte. Un beau texte. Les bords de rivière, la vie en péniche sont très bien décrits. Des personnages à fleur de peau. « Le bachot du « Dandine » emporté doucement par le courant de la Marne s’était écarté du pont, à quelques mètres du petit tourbillon qui s’enroulait autour de la pile de pierre. Il avait fait un nœud au taquet et la barque s’était stabilisée, dansant un peu sur l’eau grise. »

Notre avis : Un beau livre dans une belle collection. Une histoire courte mais dans laquelle on se plonge avec beaucoup de plaisir et de curiosité.

11 € – Édition In8

 

 

 

 

 

guerre des tétons
« La guerre des tétons » – Lili Sohn
Je ne veux pas qu’on me regarde avec des yeux de petit chat, je n’ai pas besoin de pitié mais plutôt d’énergie cosmique ! Et si ça peut t’inciter à te checker les boobs ou ceux de ta blonde, eh bien tant mieux ! « Cancer du sein » : à l’annonce du terrible diagnostic en février 2014, Lili n’a que vingt-neuf ans. Loin de se laisser abattre, la jeune femme décide de mettre à profit ses compétences de graphiste pour créer un blog et y raconter son combat contre la maladie sous forme de dessins humoristiques. Sa tumeur, elle va l’appeler Günther, et un véritable « massacre orchestré » est mis au point pour l’éradiquer. Sur la toile, l’énergique et décomplexée Lili aborde tous les aspects de son nouveau quotidien pour mieux l’exorciser : de sa découverte de la maladie aux réactions de son entourage, de ses interactions avec le milieu médical à ses astuces toutes personnelles. Examens, traitements, symptômes, génétique, mais aussi féminité, hygiène de vie et relations humaines : tout est décortiqué avec autodérision dans le seul but d’informer sans dramatiser… et surtout sans banaliser. Reprenant les posts du blog à succès et des illustrations inédites, Invasion, premier tome publié par les éditions Michel Lafon, raconte l’histoire de Lili jusqu’à son opération du sein.

14 € 95 – Éd. Michel Lafon

 

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