Salut les gens !
Plein de choses cette semaine :
– derniers jours pour s’inscrire aux ateliers d’initiation à l’harmonie Punk !
– prochaines dates sur Angers !
– Hors série spécial intermittence !
– et bien rassurez-vous, il reste des places pour les ateliers d’initiation à l’harmonie punk ! C’EST GRATUIT !!
Attention l’article qui suit contient plein de jeux de mots « carambar » mais cé sans trucage.
Cette année nous jouons aux Traver’cé Musicales (et bim et de 1 !!!) et c’est chez nous aux Ponts de Cé !!
Le festival et nous, vous proposons de vous initier à l’harmonie Punk !
Et l’harmonie Punk c’est quoi ? Et bien vous allez le découvrir grâce à nos deux supers intervenants !
Simon : Trompettiste.
« Trop d’études peuvent conduire à la folie… après ses 10 ans de conservatoire, son premier prix de trompette et de musique de chambre, Simon se retrouva complètement démuni lorsque son côté punk prit le dessus. Une camisole de force ne fut pas un luxe pour son entourage. Dire que ce virtuose à l’esprit tordu pourrait travailler avec les enfants grâce au diplôme du DUMI ! C’est scandaleux ! Ses collègues le placèrent rapidement leader de la fanfare, peut-être par peur de son incontrôlable paranoïa. La terreur que son nom évoque l’a amené à être accepté dans beaucoup de groupes angevins notamment Rue 440, ONCCD – Sur lesToits, La Cie « le son des choses », Les génisses dans l’maïs et le Stabul Orchestra, … »
Toma : Tromboniste.
« Je suis Toma, né il y a près de 400 ans dans les hautes Terres d’ Écosse. Je suis immortel, comme les académiciens ou Michel Galabru. Des siècles durant, j’ai travaillé à la distillation de l’ultime spectacle, tantôt avec la Cie Ram-Dam, tantôt avec la Fanfare ALGDC. Ces années de voyages et de recherches font de moi le leader incontestable des projets que je mène. Les légendes « Punk-à-chiens » parleront de notre passage, mais à la fin, les livres d’histoire ne se souviendront que de moi: The Highlander. »
Les ateliers auront lieu à l’ado’cé (et bim !!! deuxième calembour) près des ateliers enfantins.
Contenu : improvisation musicale et scénique, soundpainting, jeux d’improvisation en groupe.
Les ateliers sont réservés en priorité aux adolescents entre 10 et 16 ans.
– Pour s’inscrire : 02.41.79.76.00 et demandez « Elise » / ou par mail elise.callebaut@ville-lespontsdece.fr.
Notez dans vos agendas nos deux prochaines dates de concert !
– samedi 17 mai : Quartier de haut de Saint Aubin
Plusieurs déambulations sont prévues le matin et l’après-midi, le programme s’affine, on vous donnera plus de détails la semaine prochaine.
.- samedi 24 mai : à l’étincelle à Angers ! Tout est dit sur l’affiche sauf que la bière est à 1€50 !!
les actions en court : Intermittence.
Depuis plusieurs mois, nous, intermittents du spectacle, agissons pour rejeter la réforme du 22 mars modifiant notre régime d’indemnisation. Pour comprendre nos actions nous vous proposons une petite navigation interactive !!
Comment ça marche ?
Et bien il suffit de cliquer en bas de page pour avancer de page en page !
Pour ce qui est des actions cette semaine M Cambadelis a malgré lui rencontré une délégation d’intermittent à Lille…On pouvait lire dans le JDD:
« Il n’est pas prêt d’oublier ce débat. Tout avait pourtant parfaitement commencé. Le soleil régnait sur la Grand Place de Lille quand Jean-Christophe Cambadélis a embrassé chaleureusement Martine Aubry, venue l’accueillir pour cette réunion sur la culture, organisée dans le cadre de la campagne européenne du PS.
Aubry et Cambadélis ont longtemps été alliés, et le patron du PS arbore un grand sourire en entrant au Théâtre du Nord, aux cotés de celle qui a dirigé ce parti pendant quatre ans, avec son soutien. La culture a toujours été la passion de Martine Aubry, elle est dans son élément et dans sa ville. Elle ouvre donc le bal, heureuse « d’accueillir Jean Christophe Cambadélis, un ami depuis très longtemps » puis se lance : « Il est grand temps que l’Europe change sa direction tant elle a oublié ce pourquoi elle a été créée ». Aubry déroule son plaidoyer pour la culture « dont on n’a jamais tant besoin qu’au moment où on est en crise » et appelle à une autre Europe : « L’Europe doit revenir à l’essentiel, elle est aujourd’hui dans les mains de ceux qui pensent que les marchés et la finance peuvent tout, elle doit redevenir une Europe faite d’humanisme et de progrès. »
« Où est la parole politique? »
La soirée se poursuit, agréable et bon enfant. Les hommes et femmes de culture échangent. Puis c’est au tour du représentant de la coordination des intermittents du spectacle. « Il n’y a pas de culture sans droits sociaux » prévient l’homme en colère contre le nouveau texte signé par le Medef et quelques syndicats qu’il qualifie « d’accord pourri ». Le ton se fait plus véhément : « Les socialistes, jusqu’en 2012, vous étiez avec nous, jusqu’en 2012 on avait le soutien de tous les socialistes, François Hollande et Jean-Marc Ayrault compris. François Rebsamen il y a deux mois nous soutenait encore et là il est ministre du Travail et il signe cet accord pourri. Où est la parole politique? ».
Se tournant vers la maire de Lille, il poursuit: « Madame Aubry, vous êtes la dernière ministre du Travail à avoir refusé de signer de tels textes, c’était en 2000. On peut donc refuser ». Puis c’est au tour du patron du PS d’être interpellé : « Monsieur Cambadélis, allez-vous lutter avec nous, allez vous faire pression pour que le ministre du Travail ne signe pas cet accord? ». Fin du premier acte.
« Ça me rappelle ma jeunesse »
Le patron du PS monte à la tribune, une vingtaine de personnes se lèvent dans la salle et brandissent des affichettes « Non à l’agrément de l’accord Unedic ». « Camba » de répondre : « Le PS continuera à défendre sa position. Nous interpellerons François Rebsamen sur la question ». Les intermittents ne semblent pas satisfaits. Peu lui importe. Le premier secrétaire se met alors à prononcer le discours qu’il avait préparé. Une amabilité pour « saluer Martine Aubry qui a porté haut la culture parce qu’elle porte haut l’humanisme ».
Les intermittents commencent alors à descendre vers la tribune. « Si vous pouvez nous laisser travailler », insiste Cambadélis qui se met à lire ses feuilles : « Les valeurs boursières ont remplacé les valeurs éthiques, la technocratie se verrait bien remplacer la démocratie usée qu’elle est par l’abstention. » A trois semaines des élections européennes, dans cette eurorégion où se présente Marine Le Pen, le premier secrétaire prédit : « Je suis persuadé que c’est dans cette région que le PS avec Gilles Pargnaux fera le meilleur score ». Camba pense que tout est bien qui finit bien. Un peu plus tard, l’ancien trotskiste dira en se marrant : « Ça me rappelle ma jeunesse. »
Aubry aux intermittents : « Laissez-le partir »
Un peu avant 21 heures, la soirée se termine. Les invités se disent au revoir et vont rentrer chez eux. Sur la Grand Place, devant le théâtre, la nuit se dessine et les intermittents se font plus pressants. « Non à l’agrément », « Avignon n’aura pas lieu », scandent la trentaine de personnes. Martine Aubry leur rappelle qu’elle s’est opposée aux remises en cause de leurs droits quand elle était ministre du Travail, ce dont ils conviennent et elle part tranquillement. A pied. Jean Christophe Cambadélis veut, lui, rejoindre sa voiture pour prendre la route de Paris. Les artistes en colère le suivent, derrière le théâtre, rue Saint-Nicolas et s’allongent devant son véhicule. Le patron du PS qui a réussi à s’installer dans sa voiture, se retrouve bloqué à l’intérieur, au milieu des intermittents.
Quand la maire de Lille comprend la mésaventure de Camba, elle revient sur place. Et interpelle les manifestants : « Jean Christophe Cambadélis vous a dit qu’il allait écrire à François Rebsamen et qu’il allait défendre la position du PS, je m’en porte garant, laissez-le partir ». Les artistes l’écoutent, lui font confiance et se lèvent. La voie est libre. Cambadélis baisse la vitre, sort son bras, met sa main dans celle d’Aubry et sourit. Le Premier secrétaire peut rentrer à Paris, après une soirée dont il se souviendra ».
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« Quand on crée de la richesse, on la distribue » : c’est par cette formule que le président du Medef, Pierre Gattaz, se justifie, alors que Le Canard enchaîné révèle mardi 6 mai qu’il a perçu, en tant que patron de Radiall, une rémunération en hausse de 29 % en 2013.
Pierre Gattaz, qui dirige l’entreprise de composants électroniques, a ainsi touché 420 000 euros de rémunération en 2013, dont 102 000 euros de part variable. Un paradoxe, souligne l’hebdomadaire satirique, alors que le même homme prône, en tant que représentant du patronat, l’appel à la modération salariale et à l’exemplarité. Sur la même période, les salaires de ses employés n’ont augmenté que de 3,3 %. »
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Encore un copain qui vous demande du pognon… hé hé hé
Cette semaine c’est notre pote Antoine Huchin qui a besoin de vous pour éditer un jeu !
NaNaNaNaNère est un jeu de carte familial et impertinent qui vous plonge dans une bataille de boulette en papier en classe…
Le fonctionnement du financement participatif est simple : Chaque contributeur se voit rétribué de son don par une contrepartie du créateur (par exemple: un pin’s parlant ou un weekend pour 2 à Cheviré le Rouge). Si la somme n’est pas atteinte, les contributeurs se voient rembourser leurs dons.
Donc, si vous voulez soutenir ce projet cliquez ICI. Et si vous avez soutenu, vous pouvez également partager ce projet, en l’envoyant à vos contacts par exemple, ou en en causant chez la coiffeuse aussi ça marche bien.
Et hop c’est les 10 et 11 mai à la Paperie (chez Cie Jo Bithume) c’est plein de spectacles et d’exposants ! C’est 10 € la journée, 15€ les deux jours en soutien à l’Embarquement.
Plus d’infos sur les flys ci-dessous.